L’Institut des Maladies Neurodégénératives (IMN) a été créé le 1er janvier 2011. Il résulte de la fusion de plusieurs équipes issues principalement de deux anciennes unités du CNRS. Ce laboratoire est composé de 122 personnes. L’IMN comprend des équipes de recherche fondamentale localisées au sein du centre Broca Nouvelle Aquitaine, et un pôle clinique, localisé à l’IBIO, directement connecté au CHU (Centre Hospitalier Universitaire) Pellegrin.

Les recherches menées à l’IMN portent sur les maladies neurodégénératives ainsi que la physiologie du comportement. L’IMN regroupe à la fois des chercheurs précliniques (qui travaillent sur des modèles expérimentaux) et des cliniciens, avec un objectif clair de développer de nouvelles approches thérapeutiques pour les troubles neurodégénératifs. Sa composition en deux entités distinctes intégrant la clinique en fait sa spécificité au niveau national.

Les travaux menés par les chercheurs de l’IMN ouvrent la voie de la médecine innovante, notamment dans le domaine de la maladie de Parkinson, les processus de la mémoire, la maladie d’Alzheimer et l’imagerie fonctionnelle.

Site Internet: www.imn-bordeaux.org

Le Neurocentre Magendie, dirigé par Stéphane Oliet, rassemblant 202 personnes, a été fondé en 2007.

Les recherches menées par les équipes du Neurocentre Magendie vont des mécanismes cellulaires et moléculaires de l’activité neuronale aux pathologies neurologiques et comportementales.

Le but des équipes du Neurocentre Magendie est de comprendre la physiopathologie de la plasticité neuronale, c’est-à-dire comment le cerveau et ses cellules sont capables de se modifier en réponse à des situations comportementales normales ou pathologiques.

Quelques cliniciens pratiquent de la recherche translationnelle : ils utilisent les connaissances de la recherche fondamentale afin de produire des applications concrètes pour les patients.

Site Internet: https://www.neurocentre-magendie.fr/

L’Institut interdisciplinaire de neurosciences (IINS) a été créé le 1er janvier 2011. L’unité est située au Centre Broca Nouvelle-Aquitaine à Bordeaux. 160 personnes travaillent actuellement à l’IINS. Daniel Choquet est le directeur de l’Institut.

L’IINS mène des travaux pluridisciplinaires associant des chimistes, biologistes cellulaires, biophysiciens et neurobiologistes pour étudier les mécanismes fondamentaux liés au fonctionnement du cerveau.

Les scientifiques s’intéressent plus particulièrement à la transmission synaptique c’est-à-dire à la communication entre les cellules du cerveau et son impact sur les réseaux neuronaux et les comportements. S’appuyant sur des outils très perfectionnés, ils mettent au point des nouvelles technologies pour analyser et comprendre l’organisation nanoscopique, la dynamique des synapses et la physiologie des circuits neuronaux en situation comportementale dans des conditions normales et pathologiques.

Les axes méthodologies de recherche à l’IINS sont l’imagerie, la chimie, la biologie cellulaire ainsi que la physiologie des synapses et des réseaux neuronaux.

L’Institut figure parmi les chefs de file dans le domaine de la dynamique des molécules membranaires. Ses travaux ont permis une avancée considérable dans la compréhension des récepteurs et de la fonction synaptique.

Site Internet: www.iins.u-bordeaux.fr

L’Institut interdisciplinaire de neurosciences (IINS) a été créé le 1er janvier 2011. L’unité est située au Centre Broca Nouvelle-Aquitaine à Bordeaux. 160 personnes travaillent actuellement à l’IINS. Daniel Choquet est le directeur de l’Institut.

L’IINS mène des travaux pluridisciplinaires associant des chimistes, biologistes cellulaires, biophysiciens et neurobiologistes pour étudier les mécanismes fondamentaux liés au fonctionnement du cerveau.

Les scientifiques s’intéressent plus particulièrement à la transmission synaptique c’est-à-dire à la communication entre les cellules du cerveau et son impact sur les réseaux neuronaux et les comportements. S’appuyant sur des outils très perfectionnés, ils mettent au point des nouvelles technologies pour analyser et comprendre l’organisation nanoscopique, la dynamique des synapses et la physiologie des circuits neuronaux en situation comportementale dans des conditions normales et pathologiques.

Les axes méthodologies de recherche à l’IINS sont l’imagerie, la chimie, la biologie cellulaire ainsi que la physiologie des synapses et des réseaux neuronaux.

L’Institut figure parmi les chefs de file dans le domaine de la dynamique des molécules membranaires. Ses travaux ont permis une avancée considérable dans la compréhension des récepteurs et de la fonction synaptique.

Site Internet: www.iins.u-bordeaux.fr

NutriNeuro « Nutrition et Neurobiologie Intégrative » est une unité de 80 chercheurs, cliniciens et étudiants en Neuroscience et Nutrition dirigée par Lucile Capuron. Depuis sa création en 2011, le nombre de scientifiques de cette unité n’a cessé de croitre grâce à son dynamisme et son attractivité.

Les recherches menées, résolument pluridisciplinaires et translationnelles, répondent à des enjeux sociétaux de taille : comprendre comment la nutrition influence le fonctionnement du cerveau et protège des troubles de l’humeur et la cognition. Par quels mécanismes les nutriments (sucre, acide gras, vitamine, polyphenol) agissent dans le cerveau ? Comment l’alimentation participe à la physiopathologie de la dépression et protège du déclin cognitif ? Quels liens entre obésité, stress et cognition chez l’adolescent ?

En 2014, NutriNeuro a développé une cellule de transfert (NutriBrain) pour mettre en place des partenariats avec les industriels et favoriser l’innovation et le transfert. Enfin, NutriNeuro a développé un partenariat unique avec l’Université Laval à Québec au travers du laboratoire international associé (LIA) OptiNutriBrain. Ces recherches innovantes et originales à l’interface des Neurosciences et de la Nutrition confèrent à NutriNeuro un positionnement unique en France.

Site Internet: https://www6.bordeaux-aquitaine.inrae.fr/nutrineuro/Presentation

L’unité SANPSY (Sommeil, Addiction, Neuropsychiatrie), créée en 2011, est située au CHU Pellegrin et à quelque pas de l’hôpital psychiatrique Charles Perrens. Elle est composée de 27 personnes, sous la direction de Marc Auriacombe.

Cette unité de recherche clinique s’intéresse spécifiquement au sommeil, à l’addiction et aux maladies neuropsychiatriques. L’unité dispose d’une plateforme dotée d’une chambre d’enregistrement du sommeil et d’équipements de réalité virtuelle (simulateurs de vol et de conduite, Controlled Automatic Virtual Environment (CAVE) financé par le projet EquipEx « PHENOVIRT », etc.). Cet environnement virtuel permet d’étudier les effets de la privation de sommeil et de la fatigue sur l’attention, les fonctions cognitives et les risques d’accidents. Cette plateforme de recherche possède également une extension au CHS Charles Perrens qui suit une cohorte de patients souffrant d’addiction. Récemment, la clinique du sommeil du CHU de Bordeaux a migré à proximité de la plateforme de recherche de SANPSY, ce qui crée un environnement optimal pour la recherche clinique.

Les principaux objectifs de Sanpsy sont de comprendre les déterminants de la somnolence et des troubles de l’attention chez les patients. Les chercheurs travaillent également sur les relations entre les troubles du sommeil et les pathologies psychiatriques, en particulier l’addiction, le craving, la dépression et le Trouble de l’Attention et de l’Hyperactivité (TDAH). Les chercheurs testent des protocoles comportementaux, pharmacologiques et techniques pour restaurer les performances cognitives des sujets sains et des patients.